Chorégraphie Alexandre Carniato & Morgane Dragon
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© Agathe Poupeney |
Nous avons choisi de traiter la durée des 3 mouvements 30'', 2'23'', 1'40'' par des corps indissociables de l’acoustique qui est la science du son.
La gestuelle des danseurs représente la traduction des notions de mécaniques des fluides, de mécanique vibratoire, de mécanique du solide déformable.
Durée : 13'39"Année de création : 2015
Pièce pour 3 danseurs et une musicienne
Musique originale : Phanie White
Teaser à visionner ici :
https://www.youtube.com/watch?v=GavsEOgFWgs&feature=youtu.be
Le silence est une vraie note.
Pièce pour 3 danseurs et une musicienne
Musique originale : Phanie White
Teaser à visionner ici :
https://www.youtube.com/watch?v=GavsEOgFWgs&feature=youtu.be
John Cage
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©Agathe Poupeney |
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© Agathe Poupeney |
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© Agathe Poupeney |
SONGES DU DOUANIER
Songes du Douanier retracent le monde sauvage, exotique et exubérant de Douanier Rousseau vers un étrange bidimensionnel
qui fait naître dans la danse un rapport à l’espace et à la nature inhabituel.
La pièce dessine trois tableaux : un monde animal stylisé, l’humain sans perspectives et un univers intemporel mêlant la jungle et l’homme.
Dans le premier tableau, les corps soulignent la faune et la flore dont les mouvements transpirent l’animalité.
Le deuxième tableau suggère la représentation de l’homme dans l’esprit de la simplicité des portraits de face, naif et sans volume.
Le troisième tableau est un voyage onirique.
Pièce pour 4 danseurs.
Musique originale :
Otherside - Stéphanie Blanc et Jérôme Levatois.
Durée : 15 ou 25 minutes.
Année de création : 2013.
Teaser à visionner ici :
Lorsque j’entre dans les serres du Jardin des Plantes et que je vois les étranges plantes des pays exotiques,
il me semble que je pénètre dans un rêve.
Douanier Rousseau.
La pièce dessine trois tableaux : un monde animal stylisé, l’humain sans perspectives et un univers intemporel mêlant la jungle et l’homme.
Dans le premier tableau, les corps soulignent la faune et la flore dont les mouvements transpirent l’animalité.
Le deuxième tableau suggère la représentation de l’homme dans l’esprit de la simplicité des portraits de face, naif et sans volume.
Le deuxième tableau suggère la représentation de l’homme dans l’esprit de la simplicité des portraits de face, naif et sans volume.
Le troisième tableau est un voyage onirique.
Pièce pour 4 danseurs.
Musique originale :
Otherside - Stéphanie Blanc et Jérôme Levatois.
Durée : 15 ou 25 minutes.
Année de création : 2013.
Teaser à visionner ici :
Lorsque j’entre dans les serres du Jardin des Plantes et que je vois les étranges plantes des pays exotiques,
il me semble que je pénètre dans un rêve.
Douanier Rousseau.
Pièce pour 4 danseurs.
Musique originale :
Otherside - Stéphanie Blanc et Jérôme Levatois.
Durée : 15 ou 25 minutes.
Année de création : 2013.
Lorsque j’entre dans les serres du Jardin des Plantes et que je vois les étranges plantes des pays exotiques,
il me semble que je pénètre dans un rêve.
il me semble que je pénètre dans un rêve.
Douanier Rousseau.
LES MÉNINES
Chorégraphie Alexandre Carniato & Morgane Dragon
La représentation par quatre danseurs du tableau « Les Menines » de Velazquez est le point de départ chorégraphique
qui permet de faire revivre l’étude de prédilection de Picasso.
Cette œuvre magistrale met en valeur le génie de deux grands peintres de l’art occidental et souligne la confrontation
de Picasso dans ses recherches stylistiques, thématiques et compositionnelles avec la couleur.
Les danseurs se métamorphosent au fur et à mesure, chaque personnage prend une nouvelle apparence physique,
gestuelle et met en scène les transformations de Picasso. Le principe chorégraphique est de retracer les différentes étapes
du travail de Picasso et de faire apparaître les matières.
Couleurs, sentiments, formes, mouvements et points de vue se dessinent à travers quatre solos : Bleu, Rose, Nu et Noir-Blanc Fer-Forgé.
Pièce pour 4 danseurs et 1 guitariste.
Musique originale : Stéphanie Blanc.
Durée : 20 minutes.
Année de création : 2009.
Teaser à visionner ici :
S’il y avait une seule vérité, on ne pourrait pas faire cent toiles sur le même thème.
L’art qui n’est pas dans le présent ne sera jamais.
Pablo Picasso.

© Alain Julien

© Alain Julien

© Jean-Luc Berthiaux

© Alain Julien
L'ÂME COULÉE DANS L'AIRAIN
Chorégraphie Alexandre Carniato & Morgane Dragon
Les sculptures d’Auguste Rodin expriment en effet la puissance, la force, le désir charnel, la peur de la mort, la solitude, l’amour au plus près du réel.
Ainsi, la sensibilité de chacun est représentée dans les caractéristiques des postures et des passions, pour voyager dans une ode à l’amour.
La secrète envie de voir les sculptures d’Auguste Rodin s’animer devient réalité dans la pièce qui met en valeur la justesse des sentiments
et de l’émotion tout en évolulant dans la danse sous une lumière actuelle.
La pièce s’articule autour de deux tableaux pour représenter les différents traits de la vie d’un homme, son incarnation et sa pensée.
On distingue ainsi le dessin des corps, cette chair, ces muscles martyrisés, torturés à l’extrême, d’où jaillit la force de l’esprit
dont les visages marqués par l’expression sont la matérialisation de la pensée.
Car il nous parle de nous, de notre temps, de notre condition d’humain.
Pièce pour 5 danseurs.
Musique : Concerto pour piano en sol majeur - Ravel Gymnopédie I et III, Embryons desséchés, Valse Je te veux - Satie
Durée : 25 minutes.
Année de création : 2005.

© Gilles Crampes
La sculpture n’a pas besoin d’originalité, mais de vie.
Auguste Rodin.
La représentation par quatre danseurs du tableau « Les Menines » de Velazquez est le point de départ chorégraphique
qui permet de faire revivre l’étude de prédilection de Picasso.
Cette œuvre magistrale met en valeur le génie de deux grands peintres de l’art occidental et souligne la confrontation
de Picasso dans ses recherches stylistiques, thématiques et compositionnelles avec la couleur.
Les danseurs se métamorphosent au fur et à mesure, chaque personnage prend une nouvelle apparence physique,
gestuelle et met en scène les transformations de Picasso. Le principe chorégraphique est de retracer les différentes étapes
du travail de Picasso et de faire apparaître les matières.
Couleurs, sentiments, formes, mouvements et points de vue se dessinent à travers quatre solos : Bleu, Rose, Nu et Noir-Blanc Fer-Forgé.
Pièce pour 4 danseurs et 1 guitariste.
Musique originale : Stéphanie Blanc.
Durée : 20 minutes.
Année de création : 2009.
S’il y avait une seule vérité, on ne pourrait pas faire cent toiles sur le même thème.
L’art qui n’est pas dans le présent ne sera jamais.
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© Alain Julien |
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© Alain Julien |
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© Jean-Luc Berthiaux |
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© Alain Julien |
L'ÂME COULÉE DANS L'AIRAIN
Les sculptures d’Auguste Rodin expriment en effet la puissance, la force, le désir charnel, la peur de la mort, la solitude, l’amour au plus près du réel.
Ainsi, la sensibilité de chacun est représentée dans les caractéristiques des postures et des passions, pour voyager dans une ode à l’amour.
La secrète envie de voir les sculptures d’Auguste Rodin s’animer devient réalité dans la pièce qui met en valeur la justesse des sentiments
et de l’émotion tout en évolulant dans la danse sous une lumière actuelle.
et de l’émotion tout en évolulant dans la danse sous une lumière actuelle.
La pièce s’articule autour de deux tableaux pour représenter les différents traits de la vie d’un homme, son incarnation et sa pensée.
On distingue ainsi le dessin des corps, cette chair, ces muscles martyrisés, torturés à l’extrême, d’où jaillit la force de l’esprit
dont les visages marqués par l’expression sont la matérialisation de la pensée.
On distingue ainsi le dessin des corps, cette chair, ces muscles martyrisés, torturés à l’extrême, d’où jaillit la force de l’esprit
dont les visages marqués par l’expression sont la matérialisation de la pensée.
Car il nous parle de nous, de notre temps, de notre condition d’humain.
Pièce pour 5 danseurs.
Musique : Concerto pour piano en sol majeur - Ravel Gymnopédie I et III, Embryons desséchés, Valse Je te veux - Satie
Durée : 25 minutes.
Année de création : 2005.
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© Gilles Crampes |
La sculpture n’a pas besoin d’originalité, mais de vie.
Auguste Rodin.